Dans mon enfance on aurait appelé cela un terrain vague. Il y en avait un tout près, dans mon quartier de privilégiés. Près d’un hectare juste en face des immeubles, aujourd’hui occupé par des barres hideuses à prétention résidentielle. C’était mon espace de liberté.
« art »
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Le petit frère de Shona, par Philippe Aigrain (atelier de bricolage littéraire),
dans
écrire avec Philippe Aigrain (juillet 2013),
le
5 juillet 2013
Dans mon enfance on aurait appelé cela un terrain vague. Il y en avait un tout près, dans mon quartier de privilégiés. Près d'un hectare juste en face des immeubles, aujourd'hui occupé par des barres hideuses à prétention résidentielle. C'était mon espace de liberté. On s'y (...)
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Le sac ouvert,
dans
La boîte à livres : journal,
le
27 juin 2016
Dans son sac, pire qu’un sac de fille, il y a un chiffon, un masque de chantier, des bombes vides, des bombes pleines, on ne s’en rend compte qu’en pschittant en l’air, tout un fatras intime bien difficile à démêler. Le sac est béant, ouvert sur le béton ourlé d’herbes folles. De (...)
Dans son sac, pire qu’un sac de fille, il y a un chiffon, un masque de chantier, des bombes vides, des bombes pleines, on ne s’en rend compte qu’en pschittant en l’air, tout un fatras intime bien difficile à démêler.
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le couteau,
dans
poèmes,
le
8 mars 2014
elle le dit c’est une erreur elle s’est trompée elle veut réparer elle prend ce qu’elle a sous la main un couteau elle le trempe dans la peinture tend le bras vers la toile passer l’éponge la surface part avec dessous apparaît la structure le grain du réel quelque chose se passe (...)
elle le dit
c’est une erreur
elle s’est trompée
elle veut réparer -
LA RUE DE A À Z // Little Senegal, Harlem, NY, USA ,
dans
photo-textes,
le
3 octobre 2013
A LOUER Juché sur une échelle, l’agent immobilier fixe tant bien que mal la bannière au-dessus de la boutique décrépite. Il descend, recule au ras du trottoir, tire la langue, un œil fermé, la tête inclinée… Ça pourrait être pire. Il ne lui reste plus qu’à attendre le chaland. Plus (...)
Les photographies qui composent "La rue de A à Z" ont été prises un matin de décembre 2012, un peu avant 8h, à Little Senegal, Harlem, New York, entre le coin de la 119e rue et Adam Clayton Powell Bvd, la 116e rue et le coin de la 119e et Malcolm X Bvd (nom actuel de Lenox Avenue).
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Le programme de "Zinzoline s’expose 2016",
dans
actions,
le
28 novembre 2015
J’ai le plaisir de vous présenter le programme de Zinzoline s'expose 2016, qui se déroulera à la Citadelle de Blaye, chez moi, en Gironde, les 27 et 28 février 2016. Le thème retenu cette année est "La trace, l’empreinte". Je participe à ces rencontres avec : le samedi 27 février (...)
J’ai le plaisir de vous présenter le programme de Zinzoline s’expose 2016, qui se déroulera à la Citadelle de Blaye, chez moi, en Gironde, les 27 et 28 février 2016. Le thème retenu cette année est "La trace, l’empreinte".
- Zinzoline s’expose, édition 2016, dans actions, le 24 mars 2015 J'ai le plaisir de vous annoncer ma participation à la manifestation Zinzoline s'expose, édition 2016 (Citadelle de Blaye, Gironde, 27 et 28 février 2016), dont le thème sera "La trace, l'empreinte". Marianne Desroziers nous avait livré un compte-rendu alléchant de l'édition (...)
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La surprise (à partir de La chemise enlevée de Fragonard),
dans
poèmes,
le
7 décembre 2015
elle a attendu son retour aussi longtemps que ses paupières mais le sommeil lui est tombé dessus sans crier gare chaude du désir pressenti elle somnole bien-être certitude et se rend compte qu’elle est toute habillée entre deux eaux cheveux ébouriffés elle invoque alors les (...)
elle a attendu son retour
aussi longtemps que ses paupières
mais le sommeil lui est tombé dessus sans crier gare -
le trait, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Nolwenn Euzen (mai 2014),
le
2 mai 2014
« Le corps contient le tout. Il s’écrit par l’entremise du mouvement de la main alors qu’il ne bouge pas. Ne pas bouger est une attitude de désir. Le corps est suspendu au désir. De tout et de rien. De quelqu’un à qui je prête un visage. De quelqu’un dont je cherche le visage. Désir (...)
« Le corps contient le tout. Il s’écrit par l’entremise du mouvement de la main alors qu’il ne bouge pas. Ne pas bouger est une attitude de désir. Le corps est suspendu au désir. De tout et de rien. De quelqu’un à qui je prête un visage.
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au bord de la route,
dans
publications,
le
18 avril 2016
J'ai le plaisir de vous faire découvrir une photographie de mon poème au bord de la route, prise dans le cadre de PAQCAD - la poésie a quelque chose à dire. Elle a été publiée le 19 janvier 2016 sur la page Facebook du dispositif. Je n'ai pas demandé à Xavier Frandon, qui se cache (...)
J’ai le plaisir de vous faire découvrir une photographie de mon poème au bord de la route, prise dans le cadre de PAQCAD - la poésie a quelque chose à dire.
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T’es trop près,
dans
La boîte à livres : journal,
le
27 juin 2016
une boîte à livres je te retiens met un masque pschitte dans un bout de papier et commence serre ta bombe t’es trop près ça coule faut essuyer faut avoir de la force dans les doigts bouge un peu ça coule t’es trop près fais gaffe à tes fringues si tu mets de la bombe là-dessus c’est (...)
une boîte à livres je te retiens met un masque pschitte dans un bout de papier et commence serre ta bombe t’es trop près ça coule faut essuyer faut avoir de la force dans les doigts bouge un peu ça coule t’es trop près
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