par angèle casanova

« amour »

  • Hajime, par Angèle Casanova, dans écrire avec Jean-Claude Goiri (février 2016), le 5 février 2016

    Pour lire mon poème, allez .

    Pour lire mon poème, allez là.
  • mon corps numérique, dans mon corps numérique, le 2 décembre 2013

    Parfois, on ouvre par mégarde le compte facebook de quelqu’un d’autre. Pas un membre de sa famille. Quelqu’un d’autre. Cela m’est arrivé la semaine dernière et m’a portée à réfléchir.

    Parfois, on ouvre par mégarde le compte facebook de quelqu’un d’autre. Pas un membre de sa famille. Quelqu’un d’autre. Cela m’est arrivé la semaine dernière et m’a portée à réfléchir. Je me suis rendue compte. Que cela me faisait rougir jusqu’au blanc des yeux. Pourquoi. Rien de secret (...)
  • Ton être poussant, par Jean-Claude Goiri, dans écrire avec Jean-Claude Goiri (février 2016), le 5 février 2016

    Je t’ai appris à tomber quand tu marches
    je t’ai appris à parler avec nous
    je t’ai appris à lire dans tes pensées
    et je t’ai fait voir

    Je t’ai appris à tomber quand tu marches je t’ai appris à parler avec nous je t’ai appris à lire dans tes pensées et je t’ai fait voir comment ça tombe les feuilles mais je ne t’ai jamais dit pourquoi je les ramasse Je t’ai appris l’arrondi de la terre je t’ai appris les carrures (...)
  • La quinzième liste, in : 36 choses à faire avant de mourir... : la collection qui tue, dans publications, le 18 juin 2017

    J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma liste, La quinzième liste, dans les 36 choses à faire avant de mourir... : la collection qui tue, troisième série, publiées en juin 2017.

    J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma liste, La quinzième liste, dans les 36 choses à faire avant de mourir... : la collection qui tue, troisième série, publiées en juin 2017.
  • l’orgueil, dans petits bouts de vie, le 20 décembre 2013

    Quand on touche le fond. Quand rien ne va plus. Quand on s’abaisse. A traîner les genoux au sol. Yeux en l’air. Tristes. Implorants. Rien de mieux. Qu’un bon petit coup de pied au cul.

    Quand on touche le fond. Quand rien ne va plus. Quand on s’abaisse. A traîner les genoux au sol. Yeux en l’air. Tristes. Implorants. Rien de mieux. Qu’un bon petit coup de pied au cul. Une bravade. Un sourire vengeur. Rien de mieux. Que de se dire. Non mais. Vraiment. De sourire (...)
  • ombre, dans Bloomsbury spleen, le 26 février 2014

    Ailleurs je rôde. Peut-être un peu plus même. Un peu plus qu’en temps normal. Parce que je suis seule. Ailleurs que chez moi. Que je n’ai pas ma voiture. Alors je rôde. Pied ferme. Œil fixe. Je joue à faire comme si je savais où j’allais.

    Ailleurs je rôde. Peut-être un peu plus même. Un peu plus qu’en temps normal. Parce que je suis seule. Ailleurs que chez moi. Que je n’ai pas ma voiture. Alors je rôde. Pied ferme. Œil fixe. Je joue à faire comme si je savais où j’allais. Alors que non. Je joue à. Je rôde. Je fais (...)
  • j’te tourne autour, dans la route, le 27 avril 2014

    J’te tourne autour
    j’sais rien fair’ d’autre
    j’te tourne autour

    J’te tourne autour j’sais rien fair' d’autre j’te tourne autour je tourne je tourne robe légère pied en l’air je tourne Notre danse est joie espérance notre danse est sans début sans fin Elle change pourtant Au fur et à mesure nous dansons plus près toujours plus près l’un de (...)
  • cosmologue 2, dans écrire avec / pour mon fils, le 21 septembre 2014

    Il avance ses dents
    vers le croque-monsieur
    déjà attaqué

    Il avance ses dents vers le croque-monsieur déjà attaqué par le milieu de la tranche il croque prudemment un de ses coins dorés il tire essaie de dégager sa mâchoire sans succès une languette de fromage le retient il s’ébroue éclate de rire et le morceau toujours en (...)
  • orphée, par Angèle Casanova, dans mythes selon Angèle Casanova, le 17 décembre 2014

    Ma nouvelle Orphée est publiée dans le n°14 de la revue numérique L’AMPOULE (décembre 2014), consacré à Mythes & Légendes, p. 66-67.

    Ma nouvelle Orphée est publiée dans le n°14 de la revue numérique L'AMPOULE (décembre 2014), consacré à Mythes & Légendes, p. 66-67.
  • parenthèse temporelle, dans maman, maman, j’ai rêvé de l’ours, le 6 novembre 2006

    21h00.
    Je viens de finir mon dessert. Je somnole devant la télévision.
    Le téléphone sonne.

    21h00. Je viens de finir mon dessert. Je somnole devant la télévision. Le téléphone sonne. Le fixe ? Papa m’a appelé cette semaine. Ca doit être maman. Je décroche. Ouaip ? Mademoiselle … ? Oui ? Je suis l’agent … de la gendarmerie de …. Vous êtes bien la fille de Madame … ? Oui ? (...)

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