Il était une fois une marchande de nuit. Elle était devenue marchande de nuit car elle n’avait rien trouvé d’autre à vendre, même pas des allumettes. La marchande de nuit avait hérité de sa mère pourtant miséreuse d’un trésor inestimable : des morceaux de nuit.
« sdf »
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La marchande de nuit, par Marianne Desroziers,
dans
écrire avec Marianne Desroziers (août 2014),
le
1er août 2014
Il était une fois une marchande de nuit. Elle était devenue marchande de nuit car elle n'avait rien trouvé d'autre à vendre, même pas des allumettes. La marchande de nuit avait hérité de sa mère pourtant miséreuse d'un trésor inestimable : des morceaux de nuit. Certains étaient en (...)
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de A en B,
dans
petits bouts de vie,
le
20 septembre 2012
Les itinéraires sont contraints. Le hasard ne les régit pas, n’a que peu à voir avec eux. Translations d’un point de départ A à un point d’arrivée B. A et B, la plupart du temps, connus, les pieds s’y rendent tous seuls. Pilotes automatiques. De A le domicile à B le lieu de travail, (...)
Les itinéraires sont contraints. Le hasard ne les régit pas, n’a que peu à voir avec eux. Translations d’un point de départ A à un point d’arrivée B. A et B, la plupart du temps, connus, les pieds s’y rendent tous seuls.
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LA RUE DE A À Z // Little Senegal, Harlem, NY, USA, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Gilles Piazo (octobre 2013),
le
3 octobre 2013
Pour lire mon texte, allez là
Les photographies qui composent "La rue de A à Z" ont été prises un matin de décembre 2012, un peu avant 8h, à Little Senegal, Harlem, New York, entre le coin de la 119e rue et Adam Clayton Powell Bvd, la 116e rue et le coin de la 119e et Malcolm X Bvd (nom actuel de Lenox Avenue).
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hobo,
dans
petits bouts de vie,
le
25 septembre 2013
La maison est en carton, pirouette cacahouète, la maison est en carton, les escaliers sont en papier, les escaliers sont en papier… Il trotte légèrement le long de la voie ferrée, en plein cagnard. Le ventre creux, la tête folle, il chantonne en regardant au loin. Le train ne (...)
La maison est en carton, pirouette cacahouète, la maison est en carton, les escaliers sont en papier, les escaliers sont en papier…
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tous les jours, c’est lundi (variante),
dans
tous les jours, c’est lundi,
le
9 août 2012
Lundi. Le boulevard est calme. Rideaux de fer baissés. Piétons au pas rapide. Peu de bruits. Juste les voitures. Monoprix tel un phare guidant la foule vers ses étals rassurants. L’aumône se fait rare. Tous les lundi, le SDF qui fait le pied de grue à l’entrée du magasin me le (...)
Lundi. Le boulevard est calme. Rideaux de fer baissés. Piétons au pas rapide. Peu de bruits. Juste les voitures.
Monoprix tel un phare guidant la foule vers ses étals rassurants. -
De A en B,
dans
publications,
le
18 juin 2017
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication d'un ensemble de nouvelles, récits, poèmes, De A en B, dans le Hors-série #1 : Francis Caudron de la revue Le Cafard hérétique, publié en mai 2017, p. 115-120.
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication d’un ensemble de nouvelles, récits, poèmes, De A en B, dans le Hors-série #1 : Francis Caudron de la revue Le Cafard hérétique, publié en mai 2017, p. 115-120.
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LA RUE DE A À Z // Little Senegal, Harlem, NY, USA ,
dans
photo-textes,
le
3 octobre 2013
A LOUER Juché sur une échelle, l’agent immobilier fixe tant bien que mal la bannière au-dessus de la boutique décrépite. Il descend, recule au ras du trottoir, tire la langue, un œil fermé, la tête inclinée… Ça pourrait être pire. Il ne lui reste plus qu’à attendre le chaland. Plus (...)
Les photographies qui composent "La rue de A à Z" ont été prises un matin de décembre 2012, un peu avant 8h, à Little Senegal, Harlem, New York, entre le coin de la 119e rue et Adam Clayton Powell Bvd, la 116e rue et le coin de la 119e et Malcolm X Bvd (nom actuel de Lenox Avenue).
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aflojar a fondo,
dans
photo-textes,
le
12 avril 2013
Il habite dans un immeuble étudié pour l’ensoleillement maximal. Chaque balcon, orienté. En quinconce. Plein sud. Isolé. Des autres appartements. Des voisins. Du bruit. De tout. Sauf du soleil. Vie parallèles, étagées. De la rue, la façade accroche la lumière. On la devine, sa (...)
Il habite dans un immeuble étudié pour l’ensoleillement maximal. Chaque balcon, orienté. En quinconce. Plein sud. Isolé. Des autres appartements. Des voisins. Du bruit. De tout. Sauf du soleil. Vie parallèles, étagées.
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Bordeaux, l’errance, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Christopher Selac (août 2013),
le
2 août 2013
Dans mon texte itinéraire bordelais : 1994-2000, publié sur Gadins et bouts de ficelles en juin 2012, je raconte mon histoire bordelaise, à travers les différents lieux qui j’y ai habité. Aussi, lorsque Christopher m’a proposé de dresser une liste de lieux importants pour moi à (...)
Dans mon texte "itinéraire bordelais : 1994-2000", publié sur Gadins et bouts de ficelles en juin 2012, je raconte mon histoire bordelaise, à travers les différents lieux qui j’y ai habité.
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aflojar a fondo, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec François Bonneau (avril 2013 et avril 2017),
le
12 avril 2013
Pour lire mon texte, aller là
Il habite dans un immeuble étudié pour l’ensoleillement maximal. Chaque balcon, orienté. En quinconce. Plein sud. Isolé. Des autres appartements. Des voisins. Du bruit. De tout. Sauf du soleil. Vie parallèles, étagées.
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