"Là où l’humain se planque" dans vos Oloé
dimanche 18 juin 2017
Ils lisent et photographient mon recueil Là ou l’humain se planque (éditions Tarmac, collection Complément de lieu), au soleil, au café, à l’endroit qui leur semble résonner avec lui. Mon livre a ses oloés, désormais.
Voici leurs clichés :
Ève de Laudec
Estelle Dumortier
Maison de la poésie de la Drôme
Benoît Camus
Gaëtan Olala, qui précise : "On voit Kerouac avec un chat, aussi. Un aloe vera (encore petit), une bougie jaune, un lucky cat, une pigne de pin, et une carte postale d’une jungle du douanier rousseau. Derrière on aperçoit un moulin aux couleurs de l’arc-en-ciel et une bibliothèque."
Richard Taillefer
Gérard Maisonneuve
Julie Bellamy, qui m’écrit "sur les bords du soleil rectangulaire" :
Je "t’envoie une photo de mon Oloé bleu, tout simplement mon canapé en plein soleil lui aussi, plein sud mais sans autre rapport avec les 80+20%."
Et puis :
"Je précise que le truc noir derrière l’enveloppe Tarmac c’est ma liseuse de marque Bookeen, vieille et à haute valeur sentimentale."
Cécile Helmer
Pascale Kerebel (avec des tableaux de Florent Wong)
Olivier Savignat (son Oloé est également le mien)
Alix Geysels
Jacques Cauda n’est pas que lecteur de Là ou l’humain se planque : il en réalisé la couverture, et le photographie avec son oeuvre originale. Poupées gigogne / mise en abîme à la Cauda !
Nathalie Séverin
Murièle Modély
Nolwenn Euzen
Vous avez, vous aussi, envie de m’envoyer une photographie de vous lisant mon livre / de mon livre en votre Oloé ? Envoyez-la moi en mp sur mon profil Facebook ou mon compte Twitter, ou par mail !
Un Oloé, c’est quoi ?
Un mot inventé par Anne Savelli dans son livre Des Oloé, espaces élastiques où lire où écrire, paru aux éditions D-Fiction en 2011.
L’Oloé, c’est le lieu où on lit, où on écrit. Un lieu personnel, différent pour chacun, intime.