par angèle casanova

écrire avec Marianne Desroziers (août 2014)

Marianne Desroziers m’a proposé d’écrire sur les contes. Il faut dire que de Jack en Poucet, les figures du conte, profession oblige, mais pas que, m’ont profondément marquée et continuent d’influencer mon écriture et ma vision du monde.
C’est donc avec un enthousiasme sans nuance que j’ai accepté sa proposition et me suis lancée à corps perdu dans une recherche autour de Barbe bleue, de la curiosité, des boîtes et autres fantaisies... En faisant un petit tour, à ma façon, bien évidemment, par Landru, Gilles de Rais et le Père-Lachaise.
Marianne Desroziers, pour sa part, a été inspirée par une sculpture de l’artiste Sabrina Gruss (blog : http://www.sabrinagruss.com/), "La marchande de nuit", dont elle a découvert et beaucoup apprécié le travail à la galerie Eqart à Marciac.
Merci Marianne Desroziers, pour ce bel échange.

Marianne Desroziers. Marianne Desroziers

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Mais, diront certains, qu’est-ce que ces "vases communicants" ?
Ils sont définis ainsi sur l’onglet A propos du groupe facebook qui leur est dédié :

"Tiers Livre (http://www.tierslivre.net/) et Scriptopolis (http://www.scriptopolis.fr/) sont à l’initiative d’un projet de vases communicants : le premier vendredi du mois, chacun écrit sur le blog d’un autre, à charge à chacun de préparer les mariages, les échanges, les invitations. Circulation horizontale pour produire des liens autrement… Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre."

Vous souhaitez participer ? Inscrivez-vous au groupe, et faites-vous connaître.
Par ailleurs, le blog Le rendez-vous des vases recense, mois par mois, sous l’égide de Brigitte Célerier, la liste des blogs participants. Vous y trouverez donc la liste des vases pour août 2014.

Derniers textes publiés :

  • La marchande de nuit, par Marianne Desroziers, dans écrire avec Marianne Desroziers (août 2014), le 1er août 2014

    Il était une fois une marchande de nuit. Elle était devenue marchande de nuit car elle n’avait rien trouvé d’autre à vendre, même pas des allumettes. La marchande de nuit avait hérité de sa mère pourtant miséreuse d’un trésor inestimable : des morceaux de nuit.

    Il était une fois une marchande de nuit. Elle était devenue marchande de nuit car elle n'avait rien trouvé d'autre à vendre, même pas des allumettes. La marchande de nuit avait hérité de sa mère pourtant miséreuse d'un trésor inestimable : des morceaux de nuit. Certains étaient en parfait état et elle pouvait les vendre au prix fort, d'autres n'étaient que lambeaux ou poussières de (...)