Mon site gadins et bouts de ficelles vit, évolue, au gré de mes réflexions, de mon écriture, de mes projets.
« écriture »
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raccourcis / rubriques,
dans
expérimentation site,
le
15 février 2015
Mon site gadins et bouts de ficelles vit, évolue, au gré de mes réflexions, de mon écriture, de mes projets. J’ai donc demandé à Joachim Séné, qui a réalisé mon site pour Rature.net, de modifier certaines de ses fonctionnalités, afin de rendre compte de ces évolutions, selon les axes (...)
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Pillage des vases, avant le chant du violoncelle et autres, par Brigitte Célérier,
dans
recensions des Vases communicants de novembre 2014,
le
8 novembre 2014
Pour lire la recension de Brigitte Célérier, allez là.
Parce que cela flattait ma dive paresse, ma compagne,
ai décidé de rester en bordure du jour, dans le flou -
Parce qu’il me reste un petit goût pour ce rite (et parce qu’après échange avec Angèle Casanova, il en avait été ainsi décidé) -
Quand écrire est dangereux. Lettre à Asli Erdogan, jeudi 29 décembre 2016, 15h30,
dans
petits bouts de vie,
le
30 décembre 2016
Chère Asli, Pour décider d'écrire, il faut parfois le temps d'une vie. Lorsqu'aucune contrainte extérieure ne s'exerce sur lui, l'écrivain ne le devient parfois que tardivement, quand il se sent à même de donner un ordre à ce chaos qui l'habite. C'est mon cas. Je n'ai pu mettre en (...)
Chère Asli,
Pour décider d’écrire, il faut parfois le temps d’une vie. Lorsqu’aucune contrainte extérieure ne s’exerce sur lui, l’écrivain ne le devient parfois qu’à la toute fin, quand il se sent à même de donner un ordre à ce chaos qui l’habite. C’est mon cas. -
La langue de l’instant, par Eric Dubois,
dans
écrire avec Eric Dubois (septembre 2015),
le
4 septembre 2015
La langue de l'instant épouse le bonheur du monde, l'océan-brume des traversées singulières . Elle est une montagne pour les enfants que nous sommes. Fil à fil, la mémoire berce nos épaules dans des mouvements de sismographe. On éprouve des regrets en évoquant ces moments où le (...)
La langue de l’instant épouse le bonheur du monde, l’océan-brume des traversées singulières .
Elle est une montagne pour les enfants que nous sommes. -
Belfort, le 20 septembre 2014,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
20 septembre 2014
Chère Grisélidis Réal, Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. Je picore vos lettres à dose homéopathique. Je ris. Je pleure. Je m’indigne avec vous. Je souffre aussi. La nuit (...)
Chère Grisélidis Réal,
Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. -
Belfort, le 3 octobre 2014 à minuit, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Cécile Benoist (octobre 2014),
le
3 octobre 2014
Pour lire mon texte, allez là
Chère Grisélidis Réal,
Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous. -
schizophrénie,
dans
love letters,
le
5 février 2014
Ecrire. Vivre. Séparer son écriture de sa vie. Quand on sent que c'est impossible. Alors. Arrêter d'écrire un temps. Le dire. Mentir. Continuer d'écrire. En secret. Tous les jours. Intarissablement. Des mots qui ne figureront jamais ici. Que vous ne lirez jamais. L'expérience (...)
Ecrire. Vivre. Séparer son écriture de sa vie. Quand on sent que c’est impossible. Alors. Arrêter d’écrire un temps. Le dire. Mentir. Continuer d’écrire. En secret.
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tout ce qu’on veut,
dans
oloés au jour le jour,
le
7 janvier 2015
écrire dessiner tout ce qu'on veut point barre
écrire
dessiner -
Belfort, le 22 septembre 2014,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
22 septembre 2014
Chère Grisélidis Réal, Je pense singulièrement à vous, ces jours-ci. C’est bien simple, vous m’habitez. Littéralement. Tout me parle de vous. Le soleil. Les fleurs. Le thé que je lape doucement. En lisant. Ce matin, je me suis assise sur le rebord du buffet de la cuisine, pour (...)
Chère Grisélidis Réal,
Je pense singulièrement à vous, ces jours-ci. C’est bien simple, vous m’habitez. Littéralement. Tout me parle de vous. -
Belfort, le 3 octobre 2014 à minuit, par Angèle Casanova,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
3 octobre 2014
Chère Grisélidis Réal, Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous. Les mains apposées dans un coin, ce sont celles de l’écrivain. De la prostituée qui astique les bites. Délicates. Habiles. Le nom affiché (...)
Chère Grisélidis Réal,
Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous.
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