Pour lire mon poème, allez là.
« vases communicants »
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Hajime, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Jean-Claude Goiri (février 2016),
le
5 février 2016
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Belfort, le 2 octobre 2014 à 23 heures, par Angèle Casanova,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
3 octobre 2014
Chère Grisélidis Réal, Lorsque vous comprenez que vous allez mourir, vous renouez avec Jean-Luc Hennig. Pour vous, la mort est un livre. Elle prend la forme d’un livre. Parce que ne me racontez pas n’importe quoi. Je ne vois nul hasard dans le souhait que vous émettez, après des (...)
Chère Grisélidis Réal,
Lorsque vous comprenez que vous allez mourir, vous renouez avec Jean-Luc Hennig. Pour vous, la mort est un livre. Elle prend la forme d’un livre. Parce que ne me racontez pas n’importe quoi. -
le linge sale,
dans
nouvelles,
le
2 novembre 2012
Enfant, elle avait un secret. Elle le dissimulait sous son pull. Il avait la forme d’un objet de torture. Un corset. En plâtre. Il la soutenait. Il la martyrisait. Il la protégeait. Son secret. Elle le pleurait la nuit. Elle ne pensait qu’à lui. Elle ne voyait rien d’autre. Son (...)
Enfant, elle avait un secret. Elle le dissimulait sous son pull. Il avait la forme d’un objet de torture. Un corset. En plâtre. Il la soutenait. Il la martyrisait. Il la protégeait. Son secret. Elle le pleurait la nuit. Elle ne pensait qu’à lui.
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Ton être poussant, par Jean-Claude Goiri,
dans
écrire avec Jean-Claude Goiri (février 2016),
le
5 février 2016
Je t’ai appris à tomber quand tu marches je t’ai appris à parler avec nous je t’ai appris à lire dans tes pensées et je t’ai fait voir comment ça tombe les feuilles mais je ne t’ai jamais dit pourquoi je les ramasse Je t’ai appris l’arrondi de la terre je t’ai appris les carrures (...)
Je t’ai appris à tomber quand tu marches
je t’ai appris à parler avec nous
je t’ai appris à lire dans tes pensées
et je t’ai fait voir -
administration des Vases communicants,
dans
vases communicants,
le
22 novembre 2014
Le 4 octobre 2014, je suis devenue administratrice des Vases communicants. Je prends la relève de Brigitte Célérier, qui continuera à mener ses recensions des vases conjointement avec moi. A cette occasion, j'ai mis en place un nouveau dispositif web : Blog des Vases (...)
Le 4 octobre 2014, je suis devenue administratrice des Vases communicants. Je prends la relève de Brigitte Célérier, qui continuera à mener ses recensions des vases conjointement avec moi.
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des nouilles à l’Abreuvoir, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Pierre Ménard (mai 2013),
le
3 mai 2013
Pour lire mon texte, allez là
« Voir Bobigny
– Il n’y a rien à voir à Bobigny.
– Pourquoi, ça n’existe pas ?
– Si, ça existe, mais il n’y a rien à voir. Ça ne vaut pas la peine de se déplacer. -
vous avez consommé toutes vos minutes, une recension des Vases communicants de janvier 2015, par Angèle Casanova,
dans
recensions des Vases communicants de janvier 2015,
le
4 janvier 2015
Vous avez consommé toutes vos minutes. Vous avez consommé toutes vos... Ok, j'obtempère. Les Vases communicants doivent continuer à donner de la voix. Il faut dire que notre bande son s'étoffe rapidement, grâce à la participation des auteurs, et aux lectures qu'Olivier Savignat et (...)
Vous avez consommé toutes vos minutes. Vous avez consommé toutes vos... Ok, j’obtempère.
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on remballe,
dans
nouvelles,
le
7 décembre 2012
Je suis sourd. Je perds le monde. Alors je le cherche. Là où il se trouve. A son paroxysme. Pas spectacle, mais presque. Quitte à devenir sourd, autant se gorger de bruits. Tant que je peux. Dans la rue, la vie est distante, pressée, circulatoire à l’excès. Voitures, piétons, (...)
Je suis sourd. Je perds le monde. Alors je le cherche. Là où il se trouve. A son paroxysme. Pas spectacle, mais presque. Quitte à devenir sourd, autant se gorger de bruits.
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je campe ma vie, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Pierre Cohen-Hadria (novembre 2014),
le
7 novembre 2014
Je campe ma vie. Je suis toujours sur la brèche. Sur le départ. Rien à faire. Je m’attache aux choses. Aux gens. Je me rends indispensable. Je me fais détester. Et puis je disparais. En un modeste flash. Je disparais et puis plus rien. Comme le big bang à l’envers. Ma vie campée (...)
Je campe ma vie. Je suis toujours sur la brèche. Sur le départ. Rien à faire. Je m’attache aux choses. Aux gens. Je me rends indispensable. Je me fais détester. Et puis je disparais. En un modeste flash. Je disparais et puis plus rien.
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L’OS DE L’OBSCUR (brève autopsie des secrets), par André Rougier,
dans
écrire avec André Rougier (novembre 2012),
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2 novembre 2012
(bien que conçu en grande partie avant sa disparition, je dédie ce texte à la mémoire et, surtout, à la présence de Maryse Hache, qui m’a réconcilié avec beaucoup de choses et, peut-être, – alors que je croyais que c’était fait depuis longtemps – avec une part presque oubliée de (...)
(bien que conçu en grande partie avant sa disparition, je dédie ce texte à la mémoire et, surtout, à la présence de Maryse Hache, qui m’a réconcilié avec beaucoup de choses et, peut-être, – alors que je croyais que c’était fait depuis longtemps – avec une part presque oubliée de moi-même…)
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