7h00 du matin. Une lueur pâle traverse les rideaux de la chambre. Elle se tient au pied de son lit. Debout. Danse légèrement d’un pied sur l’autre. Lisse son pantalon, ajuste son chemisier. Porte ses mains à son visage, le masse doucement, puis se rassoit sur le lit. Bras croisés.
« peur »
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partie civile,
dans
nouvelles,
le
5 octobre 2012
7h00 du matin. Une lueur pâle traverse les rideaux de la chambre. Elle se tient au pied de son lit. Debout. Danse légèrement d’un pied sur l’autre. Lisse son pantalon, ajuste son chemisier. Porte ses mains à son visage, le masse doucement, puis se rassoit sur le lit. Bras croisés. (...)
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daphné, par Angèle Casanova,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
29 octobre 2013
Le paysage danse devant ses yeux. A un rythme saccadé, fou. Une branche lui fouette le visage. Son arcade sourcilière éclate. Un jet de sang coule le long de sa paupière. Elle ne s’arrête pas. Continue de courir. A perdre haleine. Au hasard. Elle contourne les arbres, écarte les (...)
Le paysage danse devant ses yeux. A un rythme saccadé, fou. Une branche lui fouette le visage. Son arcade sourcilière éclate. Un jet de sang coule le long de sa paupière. Elle ne s’arrête pas. Continue de courir. A perdre haleine. Au hasard.
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spirale, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Zéo Zigzags (décembre 2013),
le
6 décembre 2013
Je cours. Des ennemis flous, indiscernables, me poursuivent. Je le sais. Ils sont derrière moi. Tout près. Je les sens. Tendre les doigts. Vers moi. Je cours. Silencieusement. Et puis je m’envole. Tout simplement. Je m’envole. Mon corps se tasse sur lui-même. Mes genoux ploient. (...)
Je cours. Des ennemis flous, indiscernables, me poursuivent. Je le sais. Ils sont derrière moi. Tout près. Je les sens. Tendre les doigts. Vers moi. Je cours. Silencieusement. Et puis je m’envole. Tout simplement. Je m’envole. Mon corps se tasse sur lui-même.
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Tu n’as pas trente ans..., par Delphine Régnard (drmlj sur le net),
dans
écrire avec Delphine Régnard (juillet 2013),
le
5 juillet 2013
Tu n’as pas trente ans et tu es malade, très malade. Pour s’approcher de toi, il faut d’abord passer par une salle qui sert de vestiaire, enfiler une charlotte, mettre un masque, se revêtir d’une blouse, entrer dans des chaussons. Couleur bleu. Et puis, on entre et on entend (...)
Tu n’as pas trente ans et tu es malade, très malade. Pour s’approcher de toi, il faut d’abord passer par une salle qui sert de vestiaire, enfiler une charlotte, mettre un masque, se revêtir d’une blouse, entrer dans des chaussons.
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vortex,
dans
publications,
le
5 octobre 2015
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème vortex dans la revue PAYSAGES ECRITS n°25 (septembre 2015), p. 74.
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème vortex dans la revue PAYSAGES ECRITS n°25 (septembre 2015), p. 74.
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cent soixante degrés,
dans
publications,
le
18 avril 2016
J'ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s'est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l'heure québécoise, avec mon poème cent soixante degrés, publié sur la page Angèle Casanova de Poème sale. cent soixante degrés a été (...)
J’ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s’est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l’heure québécoise, avec mon poème cent soixante degrés.
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la quatrième dimension,
dans
poèmes,
le
8 mai 2015
je suis assise en tailleur le nez levé sur l’écran mon regard hésite entre deux inquiétudes ma mère pourrait passer la porte des choses affreuses pourraient apparaître là me faire sursauter crier peut-être et me trahir ma mère pourrait alors survenir et… toute à mon (...)
je suis assise
en tailleur
le nez levé -
cent soixante degrés,
dans
publications,
le
18 avril 2016
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème cent soixante degrés dans la revue le FESTIVAL PERMANENT DES MOTS n°9 (mars 2016), rubrique Libres courts. AU SOMMAIRE DE FESTIVAL PERMANENT DES MOTS 9 Jean-Claude Goiri Edith Masson Rodrigue Lavallé Dirk (...)
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème cent soixante degrés dans la revue le FESTIVAL PERMANENT DES MOTS n°9 (mars 2016), rubrique Libres courts.
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ressource / humaine,
dans
petits bouts de vie,
le
24 septembre 2012
Elle est une ressource humaine. Elle se le dit, se le répète. Une ressource. Humaine. Pour eux, plus ressource qu’humaine. Elle pense qu’elle aurait besoin de retrouver la source où, précisément, se ressourcer. La source qui transformerait cette passivité lémurienne d’habituée des (...)
Elle est une ressource humaine. Elle se le dit, se le répète. Une ressource. Humaine. Pour eux, plus ressource qu’humaine. Elle pense qu’elle aurait besoin de retrouver la source où, précisément, se ressourcer.
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partie civile, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Yoxigen (octobre 2012),
le
5 octobre 2012
Pour lire mon texte, allez là
7h00 du matin. Une lueur pâle traverse les rideaux de la chambre. Elle se tient au pied de son lit. Debout. Danse légèrement d’un pied sur l’autre. Lisse son pantalon, ajuste son chemisier. Porte ses mains à son visage, le masse doucement, puis se rassoit sur le lit. Bras croisés.
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[1] Par Garitan (Travail personnel) [CC-BY-SA-3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0)], via Wikimedia Commons
[2] Par Aphranius (travail personnel) [CC-BY-SA-3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0) or GFDL (http://www.gnu.org/copyleft/fdl.html)], via Wikimedia Commons
[3] Par Mallowtek (Travail personnel) [CC-BY-SA-3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0)], via Wikimedia Commons
[4] Par Ronnie Macdonald de Chelmsford, Royaume-Uni [CC-BY-2.0 (http://creativecommons.org/licenses/by/2.0)], via Wikimedia Commons