Le paysage danse devant ses yeux. A un rythme saccadé, fou. Une branche lui fouette le visage. Son arcade sourcilière éclate. Un jet de sang coule le long de sa paupière. Elle ne s’arrête pas. Continue de courir. A perdre haleine. Au hasard.
« horreur »
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daphné, par Angèle Casanova,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
29 octobre 2013
Le paysage danse devant ses yeux. A un rythme saccadé, fou. Une branche lui fouette le visage. Son arcade sourcilière éclate. Un jet de sang coule le long de sa paupière. Elle ne s’arrête pas. Continue de courir. A perdre haleine. Au hasard. Elle contourne les arbres, écarte les (...)
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icare, par Angèle Casanova,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
25 octobre 2013
La fenêtre est grande ouverte. Il fait bon. Le soleil inonde la rue et se réverbère en petits pinceaux lumineux sur les murs blancs de la pièce. Une porte s’ouvre. Un homme entre. Il marche. Lentement. En regardant fixement devant lui. Ses yeux aveugles à tout sauf à la lumière (...)
La fenêtre est grande ouverte. Il fait bon. Le soleil inonde la rue et se réverbère en petits pinceaux lumineux sur les murs blancs de la pièce. Une porte s’ouvre. Un homme entre. Il marche. Lentement. En regardant fixement devant lui.
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Tu n’as pas trente ans..., par Delphine Régnard (drmlj sur le net),
dans
écrire avec Delphine Régnard (juillet 2013),
le
5 juillet 2013
Tu n’as pas trente ans et tu es malade, très malade. Pour s’approcher de toi, il faut d’abord passer par une salle qui sert de vestiaire, enfiler une charlotte, mettre un masque, se revêtir d’une blouse, entrer dans des chaussons. Couleur bleu. Et puis, on entre et on entend (...)
Tu n’as pas trente ans et tu es malade, très malade. Pour s’approcher de toi, il faut d’abord passer par une salle qui sert de vestiaire, enfiler une charlotte, mettre un masque, se revêtir d’une blouse, entrer dans des chaussons.
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antigone, par Angèle Casanova ,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
28 octobre 2013
Mon père, c’est un roc. Grand, beau, sûr de lui. Il s’occupe de notre ville et ce travail, il le fait bien. Et puis la peste arrive. Sans crier gare. Un jour, tout le monde vaque à ses occupations. Le lendemain, les rues sont désertes, la ville abandonnée. Des cris résonnent (...)
Mon père, c’est un roc. Grand, beau, sûr de lui. Il s’occupe de notre ville et ce travail, il le fait bien. Et puis la peste arrive. Sans crier gare. Un jour, tout le monde vaque à ses occupations. Le lendemain, les rues sont désertes, la ville abandonnée.
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Là où l’humain se planque,
dans
Là où l’humain se planque. Tarmac, 2017 (Complément de lieu),
le
14 mai 2017
J'ai l'immense joie de vous annoncer la parution de mon premier livre, Là où l'humain se planque, publié aux Editions Tarmac (avril 2017), avec une couverture de Jacques Cauda. Ils en parlent : Patrice Maltaverne (note de lecture) Nouvelle Donne, ici (note de lecture) et ici (...)
J’ai l’immense joie de vous annoncer la parution de mon premier livre, Là où l’humain se planque, publié aux Editions Tarmac (avril 2017), avec une couverture de Jacques Cauda).
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Gorgone, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
24 juin 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là
La pierre a ses regards
ses cris ses pleurs
fantômes de Méduse -
Minotaure, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
23 juin 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là
Dans ces entrailles de pierre
un monstre digère
les amants fugitifs -
le cri,
dans
publications,
le
2 avril 2017
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle Le cri dans la revue LE CAFARD HÉRÉTIQUE, n°8 (Printemps 2016), p. 16.
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle Le cri dans la revue LE CAFARD HÉRÉTIQUE, n°8 (Printemps 2016), p. 16.
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Tantale, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
21 juillet 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là
Ô rade de l’espoir
éternel mirage
des âmes suppliciées -
Daphné, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
7 juillet 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là » »
Faute de récolter
les lauriers de la gloire
je rejoins l’immortelle nature
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