par angèle casanova

écrire avec Cécile Benoist (octobre 2014)

Quand Cécile Benoist a répondu à mon appel, sans hésiter, je lui ai répondu oui. Sans hésiter car il n’y a pas lieu de le faire.
Quand Cécile Benoist m’a proposé d’écrire une lettre sauvage, j’ai su que j’avais eu raison de ne pas hésiter.
Alors, je lui confie, aujourd’hui, une lettre à Grisélidis. Que j’espère à la hauteur de la sauvagerie recommandée. Mais si ma lettre n’est pas sauvage, celle qui l’a inspirée, oui. Je serai donc pardonnée.
Merci, Cécile Benoist, pour cette première rencontre, que j’espère suivie de beaucoup d’autres.
A bientôt.

Cécile Benoist. Littérature sauvage, L’atelier-web de Cécile Benoist

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Mais, diront certains, qu’est-ce que ces "vases communicants" ? Ils sont définis ainsi sur l’onglet A propos du groupe facebook qui leur est dédié :

"Tiers Livre (http://www.tierslivre.net/) et Scriptopolis (http://www.scriptopolis.fr/) sont à l’initiative d’un projet de vases communicants : le premier vendredi du mois, chacun écrit sur le blog d’un autre, à charge à chacun de préparer les mariages, les échanges, les invitations. Circulation horizontale pour produire des liens autrement… Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre."

Vous souhaitez participer ? Inscrivez-vous au groupe, et faites-vous connaître. Par ailleurs, le blog Le rendez-vous des vases recense, mois par mois, sous l’égide de Brigitte Célerier, la liste des blogs participants. Vous y trouverez donc la liste des vases pour octobre 2014.

Derniers textes publiés :

  • Sauvagerie au guichet, par Cécile Benoist, dans écrire avec Cécile Benoist (octobre 2014), le 3 octobre 2014

    Chère dame du Pôle Emploi,
    Hier, je suis venue te voir. Entre midi et deux, parce que c’est là qu’il y a le moins de monde tu m’as dit la dernière fois. J’ai poussé la porte et me suis sagement installée derrière les quinze personnes qui formaient une file bigarrée, comme on dit.

    Chère dame du Pôle Emploi, Hier, je suis venue te voir. Entre midi et deux, parce que c’est là qu’il y a le moins de monde tu m’as dit la dernière fois. J’ai poussé la porte et me suis sagement installée derrière les quinze personnes qui formaient une file bigarrée, comme on dit. J’ai pesté contre moi-même parce que j’avais oublié d’apporter un livre, puis je me suis adonnée à une (...)
  • Belfort, le 3 octobre 2014 à minuit, par Angèle Casanova, dans écrire avec Cécile Benoist (octobre 2014), le 3 octobre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous.

    Pour lire mon texte, allez là