Matin malade devant les enquêtes impossibles. Couette au menton, je ris des élucubrations grand-guignolesques d’un Bellemare. Souris vaguement de l’érudition d’un criminel laissant derrière lui, farce et attrapes, des empreintes palmaires de gorille.
« télévision »
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main baladeuse,
dans
petits bouts de vie,
le
23 septembre 2012
Matin malade devant les enquêtes impossibles. Couette au menton, je ris des élucubrations grand-guignolesques d’un Bellemare. Souris vaguement de l’érudition d’un criminel laissant derrière lui, farce et attrapes, des empreintes palmaires de gorille. Poe Bellemare dansent la gigue (...)
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L’enfant soldat, par Yoxigen (Un jour, j’ai mangé une pomme),
dans
écrire avec Yoxigen (octobre 2012),
le
5 octobre 2012
Il se souvenait encore de l'école, des corn flakes, des restaurants en famille, avant la Grande Récession. L'un de ses souvenirs les plus marquants, c'était l'exaltation de ses professeurs, lorsqu'ils parlaient de la seconde guerre mondiale. L'axe du mal, les héros exaltés, se (...)
Il se souvenait encore de l’école, des corn flakes, des restaurants en famille, avant la Grande Récession.
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Je me demande..., par Euonimus Blue,
dans
écrire avec Euonimus Blue (août 2012),
le
3 août 2012
Je me demande si c’est la succession des années qui me rend plus suffocante ou la pollution qui croit, en ville, et installe subrepticement une atmosphère étouffante. En tous cas, cette année, devoir de silence… C’est qu’à Paris, et dans une large part de l’hexagone, il a fait froid (...)
Je me demande si c’est la succession des années qui me rend plus suffocante ou la pollution qui croit, en ville, et installe subrepticement une atmosphère étouffante.
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ils ont des osses,
dans
écrire avec / pour mon fils,
le
15 avril 2014
Je lui cache les yeux je lui dis ce n’est pas pour toi tu es trop petit on éteint non qu’il dit on éteint c’est tout Il pleure maman je vais faire des cauchemars je t’avais bien dit que ce n’était pas pour toi c’est malin Maman j’ai peur des morts des morts ou de la mort ? de (...)
Je lui cache les yeux
je lui dis
ce n’est pas pour toi
tu es trop petit -
le raisin, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Stéphane Bataillon (décembre 2015),
le
4 décembre 2015
Pour lire mon texte, allez là.
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la quatrième dimension,
dans
poèmes,
le
8 mai 2015
je suis assise en tailleur le nez levé sur l’écran mon regard hésite entre deux inquiétudes ma mère pourrait passer la porte des choses affreuses pourraient apparaître là me faire sursauter crier peut-être et me trahir ma mère pourrait alors survenir et… toute à mon (...)
je suis assise
en tailleur
le nez levé