par angèle casanova

« eau »

  • il est 16h, dans poèmes, le 1er avril 2014

    Au bord de l’eau
    les yeux au loin
    un chemin de lumière

    Au bord de l’eau les yeux au loin un chemin de lumière juste devant moi mène au soleil le sable luit aucun bruit des enfants jouent à gauche à droite les pieds dans l’eau il fait bon il est 16h une petite fille arrose un ruisseau les pieds dans l’eau il est 16h et l’on est bien (...)
  • icare, par Angèle Casanova, dans mythes selon Angèle Casanova, le 25 octobre 2013

    La fenêtre est grande ouverte. Il fait bon. Le soleil inonde la rue et se réverbère en petits pinceaux lumineux sur les murs blancs de la pièce. Une porte s’ouvre. Un homme entre. Il marche. Lentement. En regardant fixement devant lui.

    La fenêtre est grande ouverte. Il fait bon. Le soleil inonde la rue et se réverbère en petits pinceaux lumineux sur les murs blancs de la pièce. Une porte s’ouvre. Un homme entre. Il marche. Lentement. En regardant fixement devant lui. Ses yeux aveugles à tout sauf à la lumière (...)
  • à l’unisson de mon envie de dire ma solitude, dans le papier à musique, le 4 août 2006

    Nous avons marché un bon moment avant d’arriver à bon port. Un square blotti au milieu de petites barres d’immeubles qui l’enserrent, et réverbéraient particulièrement bien la musique.

    Nous avons marché un bon moment avant d'arriver à bon port. Un square blotti au milieu de petites barres d'immeubles qui l'enserrent, et réverbéraient particulièrement bien la musique. Des notes s'élevant de ramures, de feuillages battus par le vent. Le ciel était peu engageant à (...)
  • le mur d’eau, par Angèle Casanova, dans écrire avec Franck Queyraud (décembre 2014), le 5 décembre 2014

    J’imprime les photographies sur du papier machine. En noir et blanc. J’y perds beaucoup, mais je peux confronter les images. Je note des mots-clés au dos des feuillets.

    #1 J’imprime les photographies sur du papier machine. En noir et blanc. J’y perds beaucoup, mais je peux confronter les images. Je note des mots-clés au dos des feuillets. Je les pose et reviens au dossier informatique. Je réfléchis à ce qui pourrait faire sens. Là. A ce qui (...)
  • abécédaire au vent, dans petits bouts de vie, le 30 juin 2014

    On les voit de loin. Ils flottent au vent. Tout là-haut. Nous nous approchons. Ils sont attachés au sommet de grands mâts blancs. Eoliennes de pacotille. La couleur est la même. Le vent aussi. Mais ils ne tournent pas. Eux.

    On les voit de loin. Ils flottent au vent. Tout là-haut. Nous nous approchons. Ils sont attachés au sommet de grands mâts blancs. Éoliennes de pacotille. La couleur est la même. Le vent aussi. Mais ils ne tournent pas. Eux. Ils se contentent de claquer au gré de la brise. (...)
  • la brosse à dents, dans nouvelles, le 15 septembre 2014

    Un objet. Une obsession. Une nouvelle.

    Pour lire cette nouvelle, il vous suffit d'aller feuilleter le n°13 de la revue numérique L'AMPOULE, consacré à Crimes & châtiments ! Les autres numéros de la revue sont à découvrir sur le site des Editions de l'Abat-jour.
  • ligne de partage, dans publications, le 18 avril 2016

    J’ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s’est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l’heure québécoise, avec mon poème ligne de partage.

    J'ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s'est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l'heure québécoise, avec mon poème ligne de partage, publié sur la page Angèle Casanova de Poème sale. Ligne de partage a été initialement (...)
  • Vases de cendres, par Christine Zottele (est-ce-en-ciel ?), dans écrire avec Christine Zottele (mars 2013), le 1er mars 2013

    [Faux-texte]
    Voici l’histoire. C’est une histoire de fleuve ou de rivière. Elle ne sait jamais. Elles sait seulement qu’il ne faut pas se fier au genre. Ainsi on dit la Dordogne mais il se pourrait que ce soit un fleuve

    [Faux-texte] Voici l’histoire. C’est une histoire de fleuve ou de rivière. Elle ne sait jamais. Elles sait seulement qu’il ne faut pas se fier au genre. Ainsi on dit la Dordogne mais il se pourrait que ce soit un fleuve (sur ce cours d’eau, le rédacteur de (...)
  • La première allumette, par Camille Philibert-Rossignol, dans écrire avec Camille Philibert-Rossignol (novembre 2014), le 7 novembre 2014

    S’étioler à votre fenêtre en contemplant une chouette orangée et les ragondins du marécage, ils vaquent entre la boue et le rocher, tout en se demandant s’il n’est pas temps de se lever pour éteindre le poêle [...]

    S'étioler à votre fenêtre en contemplant une chouette orangée et les ragondins du marécage, ils vaquent entre la boue et le rocher, tout en se demandant s'il n'est pas temps de se lever pour éteindre le poêle sur lequel chauffe une casserole de liquide dont le croassement crépitant (...)
  • Narcisse, par Olivier Savignat, dans mythes selon Olivier Savignat, le 25 juin 2014

    J’ai lu mon image
    l’univers a approuvé
    le verdict des eaux

    Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là

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