par angèle casanova

« lecteur »

  • des nouilles à l’Abreuvoir, par Angèle Casanova, dans écrire avec Pierre Ménard (mai 2013), le 3 mai 2013

    « Voir Bobigny
    – Il n’y a rien à voir à Bobigny.
    – Pourquoi, ça n’existe pas ?
    – Si, ça existe, mais il n’y a rien à voir. Ça ne vaut pas la peine de se déplacer.

    Pour lire mon texte, allez là
  • répétition 2, dans répétition, le 27 septembre 2013

    Allongée sur mon lit, dos au mur, jambes pliées, je lis mon texte sur une feuille volante qui tremble légèrement sous mes doigts. Ma tête est aussi proche que possible du papier. Ma voix s’y réverbère. Hypnotisée, je plonge dans le texte, je me bats avec lui.

    Allongée sur mon lit, dos au mur, jambes pliées, je lis mon texte sur une feuille volante qui tremble légèrement sous mes doigts. Ma tête est aussi proche que possible du papier. Ma voix s'y réverbère. Hypnotisée, je plonge dans le texte, je me bats avec lui. Je froisse (...)
  • Belfort, le 20 septembre 2014, dans chère Grisélidis Réal, le 20 septembre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite.

    Chère Grisélidis Réal, Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. Je picore vos lettres à dose homéopathique. Je ris. Je pleure. Je m’indigne avec vous. Je souffre aussi. La nuit (...)
  • Métabolisme [série], in : Œuvres ouvertes : la webradio littéraire, numéro 5, mars 2015, dans publications, le 22 mars 2015

    J’ai le plaisir de vous annoncer ma participation au numéro 5 de la webradio littéraire proposée par Laurent Margantin sur ŒUVRES OUVERTES.

    J’ai le plaisir de vous annoncer ma participation au numéro 5 de la webradio littéraire proposée par Laurent Margantin sur ŒUVRES OUVERTES. Je lis pour l’occasion, dans la rubrique Voix vives, ma série poétique Métabolisme [série], initialement publiée sur LA REVUE DES RESSOURCES, (...)
  • incurable, dans éloge funèbre, le 11 juillet 2012

    incurable : « Qui ne peut se guérir : Un mal incurable. Dont on ne peut se défaire, qui possède un défaut sans qu’on puisse l’en débarrasser : Une incurable paresse. Un ivrogne incurable. » (Larousse) (du latin : cura, ae, fr : soin souci)

    incurable : « Qui ne peut se guérir : Un mal incurable. Dont on ne peut se défaire, qui possède un défaut sans qu'on puisse l'en débarrasser : Une incurable paresse. Un ivrogne incurable. » (Larousse) (du latin : cura, ae, fr : soin souci) euthanasie : « À l'origine, l'euthanasie (...)
  • prolégomène à toute recension future, dans expérimentation, le 8 novembre 2014

    En 2006, j’ai créé un blog. Gadins et bouts de ficelles (aujourd’hui disparu, au bénéfice du présent site). J’avais toujours écrit. Eu envie d’écrire. Et, douée pour l’échec, j’avais tourné autour. Des années. Sans parvenir à me lancer. Rien ne venait. Un doux renoncement avait fini par m’envahir.

    En 2006, j'ai créé un blog. Gadins et bouts de ficelles (aujourd'hui disparu, au bénéfice du présent site). J'avais toujours écrit. Eu envie d'écrire. Et, douée pour l'échec, j'avais tourné autour. Des années. Sans parvenir à me lancer. Rien ne venait. Un doux renoncement avait fini (...)
  • mon corps m’échappe, par Angèle Casanova, dans écrire avec Euonimus Blue (août 2012), le 2 août 2012

    La chaleur insupportable, l’atmosphère poussiéreuse et puante du RER. La peau souillée, les mains glissantes, les cheveux collés aux tempes. Les corps qui s’entrechoquent à chaque arrêt, moiteur contre moiteur, odeur contre odeur.

    La chaleur insupportable, l’atmosphère poussiéreuse et puante du RER. La peau souillée, les mains glissantes, les cheveux collés aux tempes. Les corps qui s’entrechoquent à chaque arrêt, moiteur contre moiteur, odeur contre odeur. Mon corps m’échappe. Et n’en finit pas d’avoir (...)
  • Belfort, le 25 septembre 2014, dans chère Grisélidis Réal, le 25 septembre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    J’étais confortablement installée dans la salle d’attente des impôts quand j’ai tourné la dernière page de votre dernier livre. En le refermant, j’ai eu l’impression terriblement poignante de vous quitter pour toujours.

    Chère Grisélidis Réal, J’étais confortablement installée dans la salle d’attente des impôts quand j’ai tourné la dernière page de votre dernier livre. En le refermant, j’ai eu l’impression terriblement poignante de vous quitter pour toujours. De vous tuer. Des larmes ont commencé à (...)
  • trombones et fluo, une lecture des Vases communicants de novembre 2014, par Angèle Casanova, dans recensions des Vases communicants de novembre 2014, le 9 novembre 2014

    Merci à Brigitte Célérier de m’avoir donné ma chance. Cette première recension lui est dédiée.

    Merci à Brigitte Célérier de m'avoir donné ma chance. Cette première recension lui est dédiée. Allez lire la sienne, Pillage des vases avant le chant du violoncelle et autres. Afin que nous trouvions chacune notre place dans ce nouveau dispositif, je propose que ma recension (...)
  • "Là où l’humain se planque" dans vos Oloé , dans Là où l’humain se planque. Tarmac, 2017 (Complément de lieu), le 18 juin 2017

    Ils lisent et photographient mon recueil Là ou l’humain se planque (éditions Tarmac, collection Complément de lieu), au soleil, au café, à l’endroit qui leur semble résonner avec lui. Mon livre a ses oloés, désormais.

    Ils lisent et photographient mon recueil Là ou l'humain se planque (éditions Tarmac, collection Complément de lieu), au soleil, au café, à l'endroit qui leur semble résonner avec lui. Mon livre a ses oloés, désormais. Voici leurs clichés : Ève de Laudec Estelle Dumortier (...)

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