par angèle casanova

« prostituée »

  • Belfort, le 2 octobre 2014 à 23 heures, par Angèle Casanova, dans chère Grisélidis Réal, le 3 octobre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    Lorsque vous comprenez que vous allez mourir, vous renouez avec Jean-Luc Hennig. Pour vous, la mort est un livre. Elle prend la forme d’un livre. Parce que ne me racontez pas n’importe quoi.

    Chère Grisélidis Réal, Lorsque vous comprenez que vous allez mourir, vous renouez avec Jean-Luc Hennig. Pour vous, la mort est un livre. Elle prend la forme d’un livre. Parce que ne me racontez pas n’importe quoi. Je ne vois nul hasard dans le souhait que vous émettez, après des (...)
  • Belfort, le 20 septembre 2014, dans chère Grisélidis Réal, le 20 septembre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite.

    Chère Grisélidis Réal, Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. Je picore vos lettres à dose homéopathique. Je ris. Je pleure. Je m’indigne avec vous. Je souffre aussi. La nuit (...)
  • Belfort, le 2 octobre 2014 à 23 heures, par Angèle Casanova, dans écrire avec Eric Schulthess (octobre 2014), le 3 octobre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    Lorsque vous comprenez que vous allez mourir, vous renouez avec Jean-Luc Hennig. Pour vous, la mort est un livre. Elle prend la forme d’un livre. Parce que ne me racontez pas n’importe quoi.

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  • Belfort, le 25 septembre 2014, dans chère Grisélidis Réal, le 25 septembre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    J’étais confortablement installée dans la salle d’attente des impôts quand j’ai tourné la dernière page de votre dernier livre. En le refermant, j’ai eu l’impression terriblement poignante de vous quitter pour toujours.

    Chère Grisélidis Réal, J’étais confortablement installée dans la salle d’attente des impôts quand j’ai tourné la dernière page de votre dernier livre. En le refermant, j’ai eu l’impression terriblement poignante de vous quitter pour toujours. De vous tuer. Des larmes ont commencé à (...)
  • Belfort, le 3 octobre 2014 à minuit, par Angèle Casanova, dans écrire avec Cécile Benoist (octobre 2014), le 3 octobre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous.

    Pour lire mon texte, allez là
  • Belfort, le 22 septembre 2014, dans chère Grisélidis Réal, le 22 septembre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    Je pense singulièrement à vous, ces jours-ci. C’est bien simple, vous m’habitez. Littéralement. Tout me parle de vous.

    Chère Grisélidis Réal, Je pense singulièrement à vous, ces jours-ci. C’est bien simple, vous m’habitez. Littéralement. Tout me parle de vous. Le soleil. Les fleurs. Le thé que je lape doucement. En lisant. Ce matin, je me suis assise sur le rebord du buffet de la cuisine, pour (...)
  • Belfort, le 3 octobre 2014 à minuit, par Angèle Casanova, dans chère Grisélidis Réal, le 3 octobre 2014

    Chère Grisélidis Réal,
    Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous.

    Chère Grisélidis Réal, Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous. Les mains apposées dans un coin, ce sont celles de l’écrivain. De la prostituée qui astique les bites. Délicates. Habiles. Le nom affiché (...)
  • Sur sa carte, par François Vinsot et Angèle Casanova, dans écrire avec François Vinsot (janvier 2015), le 2 janvier 2015 F.V. "Sur sa carte de visite elle avait mis : Péripatéticienne" A.C. Elle le reconnaît, c’était de la provoc. Mais qu’est-ce qu’elle pouvait se marrer en y pensant, au petit matin, après s’être tapé ses douze heures de turbin ! Elle prenait un plaisir fou rien qu’à imaginer toutes ces (...)