écrire
dessiner
« oloé »
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tout ce qu’on veut,
dans
oloés au jour le jour,
le
7 janvier 2015
écrire dessiner tout ce qu'on veut point barre
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Belfort, le 20 septembre 2014,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
20 septembre 2014
Chère Grisélidis Réal, Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. Je picore vos lettres à dose homéopathique. Je ris. Je pleure. Je m’indigne avec vous. Je souffre aussi. La nuit (...)
Chère Grisélidis Réal,
Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. -
bad x 15,
dans
petits bouts de vie,
le
22 mai 2017
Pour lire mon poème, cliquez ici :
SSTTJJ toute une troupe intraduisible WWNNFFBBPPMM ces mots énigmatiques HH émergent et tracent des signes RRDKVQLYXP dans ma tête je les comptabilise bad x 15 pointe mon doigt
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la cascade,
dans
menteuses,
le
5 novembre 2014
Tu as l’habitude de venir jouer dans ce vallon il te voit grandir devenir femme Tes cheveux ruissellent cascade brune sauvage en accord avec l’esprit du vallon Tes cheveux cascadent au son de l’eau qui court dans le ruisseau Tes cheveux cascadent l’eau ruisselle la fée te (...)
Tu as l’habitude
de venir jouer
dans ce vallon
il te voit grandir
devenir femme -
gueule cassée,
dans
oloés au jour le jour,
le
12 janvier 2015
y a pas à dire la liberté c'est important restons-y fidèles à cette belle idée un peu casse gueule
y a pas à dire
la liberté
c’est important -
Hommage à Maryse Hache, in : Œuvres ouvertes : la webradio littéraire, numéro 2, décembre 2014 ,
dans
publications,
le
27 décembre 2014
J'ai le plaisir de vous annoncer ma participation, pour un hommage à Maryse Hache, au numéro 2 de la webradio littéraire proposée par Laurent Margantin sur ŒUVRES OUVERTES. Je lis pour l'occasion sa baleine paysage 85. Dans ce numéro, vous pourrez également écouter des lectures (...)
J’ai le plaisir de vous annoncer ma participation, pour un hommage à Maryse Hache, au numéro 2 de la webradio littéraire proposée par Laurent Margantin sur ŒUVRES OUVERTES. Je lis pour l’occasion sa baleine paysage 85.
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tout en haut de l’échelle,
dans
NY, Harlem, 119th Street,
le
6 décembre 2012
Bottes en cuir marron. Liseré vertical parsemé de touts petits clous. Talons plats. Font la jambe fine et légère. Manteau en cuir même couleur. Cheveux tous propres, lâchés, soyeux. Maquillage un brin appuyé aux yeux. Goût du rouge à lèvres. Lunettes de soleil. Meetpacking. Chelsea. (...)
Bottes en cuir marron. Liseré vertical parsemé de touts petits clous. Talons plats. Font la jambe fine et légère. Manteau en cuir même couleur. Cheveux tous propres, lâchés, soyeux. Maquillage un brin appuyé aux yeux. Goût du rouge à lèvres. Lunettes de soleil.
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Quand les mots parlent encore - un hommage à Maryse Hache, une recension des Vases communicants de mai 2015, par Angèle Casanova,
dans
recension des Vases communicants de mai 2015,
le
6 mai 2015
Quand les mots parlent encore, malgré l'absence. Quand les mots du blog paraissent en livre. Quand les Vases communicants passés nous invitent à relecture. Quand une soirée en l'honneur de Maryse Hache s'est tenue le lundi 4 mai 2015 à Paris, sur l'initiative de Publie.net, qui (...)
Quand les mots parlent encore, malgré l’absence. Quand les mots du blog paraissent en livre.
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Pillage des vases, avant le chant du violoncelle et autres, par Brigitte Célérier,
dans
recensions des Vases communicants de novembre 2014,
le
8 novembre 2014
Pour lire la recension de Brigitte Célérier, allez là.
Parce que cela flattait ma dive paresse, ma compagne,
ai décidé de rester en bordure du jour, dans le flou -
Parce qu’il me reste un petit goût pour ce rite (et parce qu’après échange avec Angèle Casanova, il en avait été ainsi décidé) -
Lecture au camping, par Pierre Cohen-Hadria,
dans
écrire avec Pierre Cohen-Hadria (novembre 2014),
le
7 novembre 2014
Il avait une jolie voix, et il chantait fréquemment. Il avait dix ans. Doucement, en marchant, ce jour-là, en allant du camping municipal de Pontorson jusqu’à presqu’au Mont, promenade que nous avions faite déjà trois fois depuis notre arrivée, une semaine auparavant. C’était (...)
Il avait une jolie voix, et il chantait fréquemment. Il avait dix ans. Doucement, en marchant, ce jour-là, en allant du camping municipal de Pontorson jusqu’à presqu’au Mont, promenade que nous avions faites déjà trois fois depuis notre arrivée, une semaine auparavant.