par angèle casanova

« sexualité »

  • Je pense donc je suis, dans publications, le 15 octobre 2015

    J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle Je pense donc je suis dans la Revue-blog aléatoire LOREM_IPSUM n°87 (octobre 2015).

    J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle Je pense donc je suis dans la Revue-blog aléatoire LOREM_IPSUM n°87 (octobre 2015).
  • Coupure, par Gilles Bertin, dans écrire avec Gilles Bertin (avril 2015), le 3 avril 2015

    Le rasoir était à la fois lourd et léger. Il l’examina de près, la lame bleu acier dépassait de quelques millimètres entre la semelle et le sabot, il l’éprouva du bout du doigt. Une grosse mouche vrombissait dans le vestibule, derrière lui.

    Le rasoir était à la fois lourd et léger. Il l’examina de près, la lame bleu acier dépassait de quelques millimètres entre la semelle et le sabot, il l’éprouva du bout du doigt. Une grosse mouche vrombissait dans le vestibule, derrière lui. Il empoigna la bombe de mousse à raser sur (...)
  • Là où l’humain se planque, dans Là où l’humain se planque. Tarmac, 2017 (Complément de lieu), le 14 mai 2017

    J’ai l’immense joie de vous annoncer la parution de mon premier livre, Là où l’humain se planque, publié aux Editions Tarmac (avril 2017), avec une couverture de Jacques Cauda).

    J'ai l'immense joie de vous annoncer la parution de mon premier livre, Là où l'humain se planque, publié aux Editions Tarmac (avril 2017), avec une couverture de Jacques Cauda. Ils en parlent : Patrice Maltaverne (note de lecture) Nouvelle Donne, ici (note de lecture) et ici (...)
  • répétition, dans répétition, le 26 septembre 2013

    Lire, c’est montrer son âme. Incarner quelqu’un d’autre, sa pensée. L’incarner dans sa chair, dans sa voix, dans sa sensualité. Pas simple, tout ça. Exhiber les entrailles d’un autre, s’exhiber également par la même occasion, c’est se mettre à nu.

    Lire, c’est montrer son âme. Incarner quelqu’un d’autre, sa pensée. L’incarner dans sa chair, dans sa voix, dans sa sensualité. Pas simple, tout ça. Exhiber les entrailles d’un autre, s’exhiber également par la même occasion, c’est se mettre à nu. Entreprise ô combien périlleuse. J’en (...)
  • oeuf mimosa, dans oeuf mimosa, le 21 octobre 2013

    Elle est allongée dans la pénombre. Le jour se lève. Toute la nuit, elle s’est agitée, retournée d’un côté de l’autre sans trouver le sommeil. Les pensées ont du mal à trouver leur chemin jusqu’à sa conscience.

    Elle est allongée dans la pénombre. Le jour se lève. Toute la nuit, elle s’est agitée, retournée d’un côté de l’autre sans trouver le sommeil. Les pensées ont du mal à trouver leur chemin jusqu’à sa conscience. Elle regarde le plafond un moment. Au fur et à mesure, le chaos qui l’habite (...)
  • aflojar a fondo, par Angèle Casanova, dans écrire avec François Bonneau (avril 2013 et avril 2017), le 12 avril 2013

    Il habite dans un immeuble étudié pour l’ensoleillement maximal. Chaque balcon, orienté. En quinconce. Plein sud. Isolé. Des autres appartements. Des voisins. Du bruit. De tout. Sauf du soleil. Vie parallèles, étagées.

    Pour lire mon texte, aller là
  • le jeu des corps, dans love letters, le 25 mai 2015

    nos cartes on se les montre
    blanches et roses et
    lisses

    nos cartes on se les montre blanches et roses et lisses on se les montre à bout touchant nos corps irradiés en gardent trace poudre alentours peau brûlée cris étranglés mort jusqu'à la prochaine fois
  • LA RUE DE A À Z // Little Senegal, Harlem, NY, USA, par Angèle Casanova, dans écrire avec Gilles Piazo (octobre 2013), le 3 octobre 2013

    Les photographies qui composent "La rue de A à Z" ont été prises un matin de décembre 2012, un peu avant 8h, à Little Senegal, Harlem, New York, entre le coin de la 119e rue et Adam Clayton Powell Bvd, la 116e rue et le coin de la 119e et Malcolm X Bvd (nom actuel de Lenox Avenue).

    Pour lire mon texte, allez là
  • Sur sa carte, par François Vinsot et Angèle Casanova, dans écrire avec François Vinsot (janvier 2015), le 2 janvier 2015 F.V. "Sur sa carte de visite elle avait mis : Péripatéticienne" A.C. Elle le reconnaît, c’était de la provoc. Mais qu’est-ce qu’elle pouvait se marrer en y pensant, au petit matin, après s’être tapé ses douze heures de turbin ! Elle prenait un plaisir fou rien qu’à imaginer toutes ces (...)
  • partie civile, dans nouvelles, le 5 octobre 2012

    7h00 du matin. Une lueur pâle traverse les rideaux de la chambre. Elle se tient au pied de son lit. Debout. Danse légèrement d’un pied sur l’autre. Lisse son pantalon, ajuste son chemisier. Porte ses mains à son visage, le masse doucement, puis se rassoit sur le lit. Bras croisés.

    7h00 du matin. Une lueur pâle traverse les rideaux de la chambre. Elle se tient au pied de son lit. Debout. Danse légèrement d’un pied sur l’autre. Lisse son pantalon, ajuste son chemisier. Porte ses mains à son visage, le masse doucement, puis se rassoit sur le lit. Bras croisés. (...)

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