Les marronniers ont disparu. Mais le nom est resté. Café des marronniers. Têtu, il nargue les nouveaux. Les remplaçants. Ceux qu’on a plantés à la place des marronniers.
« fantôme »
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les marronniers perdus,
dans
au bistrot,
le
20 juillet 2014
Les marronniers ont disparu. Mais le nom est resté. Café des marronniers. Têtu, il nargue les nouveaux. Les remplaçants. Ceux qu’on a plantés à la place des marronniers. Le jour où traînant ma valise à roulettes, je traverse la place d’armes pour la première fois, elle est trouée. (...)
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on remballe, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Brigitte Célérier (décembre 2012),
le
7 décembre 2012
Pour lire mon texte, allez là
Je suis sourd. Je perds le monde. Alors je le cherche. Là où il se trouve. A son paroxysme. Pas spectacle, mais presque. Quitte à devenir sourd, autant se gorger de bruits. Tant que je peux. Dans la rue, la vie est distante, pressée, circulatoire à l’excès. Voitures, piétons, magasins. Flux sans respirations. Ou alors intimité jalouse. Portes fermées. Volets tirés. Commerçants barricadés au fond de leurs boutiques, derrière leurs comptoirs. Derrière leurs vitrines.
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Gorgone, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
24 juin 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là
La pierre a ses regards
ses cris ses pleurs
fantômes de Méduse -
Un cœur immobile sort de sa torpeur, par Mickaël Berdugo,
dans
écrire avec Mickaël Berdugo (novembre 2015),
le
6 novembre 2015
Un cœur immobile sort de sa torpeur. Des vases sans eau coulent sur des hommes sans nom. La jeune fille crève un ballon, Puis deux, Et le manège ne fait que continuer, Sans fin, Sans fin. Une porte discute avec une autre porte De la météo, Des robes retombent sur les corps nus. (...)
Un cœur immobile sort de sa torpeur.
Des vases sans eau coulent sur des hommes sans nom.
La jeune fille crève un ballon,
Puis deux, -
Orphée, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
26 juin 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là
L’amour m’a guidé
aux confins des ombres
et encore au-delà -
traverser Belleville, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Camille Philibert-Rossignol (septembre 2012),
le
7 septembre 2012
==================================================================== le pourquoi du comment J’ai lu « Vampires » de Thierry Jonquet J’ai lu « La fée carabine » de Daniel Pennac J’ai lu « Jours tranquilles à Belleville » re de Jonquet Et j’ai voulu en savoir plus. Je suis venue J’ai (...)
le pourquoi du comment
J’ai lu « Vampires » de Thierry Jonquet
J’ai lu « La fée carabine » de Daniel Pennac
J’ai lu « Jours tranquilles à Belleville » re de Jonquet -
orphée,
dans
publications,
le
17 décembre 2014
Ma nouvelle Orphée est publiée dans le n°14 de la revue numérique L'AMPOULE (décembre 2014), consacré à Mythes & Légendes, p. 66-67.
Ma nouvelle Orphée est publiée dans le n°14 de la revue numérique L’AMPOULE (décembre 2014), consacré à Mythes & Légendes, p. 66-67.
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quelqu’un trace un cercle,
dans
ateliers de Séverine Daucourt-Fridriksson (Bibliothèque municipale de Belfort, février 2017),
le
8 février 2017
quelqu'un trace un cercle quelqu'un l'efface et la terre tourne avec lui quelqu'un écrit un mot invisible et quelqu'un le lit quelqu'un sous un arbre la nuit attend attend attend que quelqu'un revienne qui ne reviendra jamais et c'est pas si grave quelqu'un touche (...)
quelqu’un trace un cercle quelqu’un l’efface et la terre tourne avec lui
quelqu’un écrit un mot invisible et quelqu’un le lit
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orphée, par Angèle Casanova,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
17 décembre 2014
Ma nouvelle Orphée est publiée dans le n°14 de la revue numérique L'AMPOULE (décembre 2014), consacré à Mythes & Légendes, p. 66-67.
Ma nouvelle Orphée est publiée dans le n°14 de la revue numérique L’AMPOULE (décembre 2014), consacré à Mythes & Légendes, p. 66-67.
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géolocalisation,
dans
peau de lapin,
le
14 septembre 2012
Gadins et bouts, là. Mon doigt se tend. Je montre l’écran. Dans la conversation, sans l’interrompre. Je me passionne, je gesticule. Une histoire confuse de vases, de faut suivre, de paumés et de liminaires. Mon doigt se tend. Je montre l’écran. Géolocalisation. Besoin toujours (...)
Gadins et bouts, là. Mon doigt se tend. Je montre l’écran. Dans la conversation, sans l’interrompre. Je me passionne, je gesticule. Une histoire confuse de vases, de faut suivre, de paumés et de liminaires.
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